samedi 15 décembre 2007

13

Je ne peux beber anymore
Ah que le vit-jour s’y lève
Japonisant
J’ai cerclé mes toms d’argent impur pour y battre une coulpe bien remplie
Je me hais, ce qui fait que m’amure et m’amuse
Et m’envahis
Barbote en cendres, aux étoiles arraché
Et me divertis de mes errements.

C’est trop tard, joué, perdu,
Pendus mes Lewis Carrol au mur des trophées négatifs
Arpents de lycra lamé en or et petites filles, grandies, échappées, oiseaux, bière, vie en chansons
Lion calé de mots, alcools, trop d’estomac, ah ah !

Je ne sais que boire, à peine, écrire nuitant
Pleurer la sliwowicz, perle d’alcool.

Par la fenêtre de pas chez moi choient des essences d’autres
Et d’antres constellé, par enfer dit.

Vrille une temporale Californie, en chevrons…

Il me faut dormir mais,
Il me faut dormir mais,
Il me faut dormir mais,
Il me faut dormir mais.

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