samedi 15 décembre 2007

33

Si j’avais des mains,
Je les glisserais sous sa jupe
Je les glisserais dans son slip
Je les glisserais dans sa fente,
toujours mieux que les camés, les connards, les bouteilles de vodka (deux fois) que Bébé s’enfile.

Encore qu’il me reste un passage…

J’agrémente l’eau de mon bain de pingouins mécaniques, et poissons, et dauphins, et crocodiles, et sous-marins, et tortues, tous mécaniques, et d’un ou deux orifices bouillants autour desquels s’articule Bébé.

Je goûte le baiser de ses lèvres, mais je n’aime guère sa moustache.

Dans les replis sanglants de son bas-ventre nu
Me guette à coup sûr le virus expiatoire
Dentés de verre brisé, gniak gniak, à la mode d’un jadis encombrant
Con et cul…

Tout ça pour que les psy s’y retrouvent dans leurs tiroirs et que les monstres classiques s’en retournent…

Bébé grimpe à ma tige ; suce ma queue, salope ! J’te fourre, j’te retourne, j’t’encule !

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