Lorsque alangui repose au mol amble d’olifant de ma planche océane
Roulis frisure de la lune et poids du mouvement de l’air sur le cul de liquide où se vautre mon originelle et constitutive hébétude, toujours il y a un père qui me braille :
« Lève toi le cul, feignasse, à c’t’heure-ci tous les ouvriers sont au turbin ! »
Un père, ça se respecte alors me retourne, me rendors le nez contre le mur et rêve de.
samedi 15 décembre 2007
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire